Si Emmanuel Macron “adore la bagnole”, le portefeuille des Français(e)s l’aime un peu moins. Souvent réduit au plein d’essence et aux péages, le vrai coût d’une voiture est bien plus important. De quoi vous faire aimer d’autres moyens de transports ?
Les transports représentent 32% des émissions territoriales de notre pays, et les émissions ont augmenté de +2.9% en 2022 (données provisoires). C’est catastrophique. Mais si le changement climatique n’apparaît pas encore aux yeux de tous comme une raison valable pour réduire la voiture, il est possible que son (vrai) prix puisse peser dans balance.
Le coût d’un trajet en voiture est souvent réduit à celui du carburant et des péages d’autoroute. Mais alors qui paie l’achat, l’entretien, le parking, l’assurance ?
On fait le point en quelques clics avec le simulateur de référence du coût d’un trajet en voiture.
Le simulateur du vrai coût d’une voiture
Voici le simulateur grâce auquel vous obtiendrez le vrai coût d’une voiture en quelques clics.
ATTENTION : ce simulateur n’est pas le premier modèle de calcul, mais c’est le premier simulateur que vous pouvez utiliser gratuitement et en open source. Il fut un temps, il était possible d’avoir un calcul semblable via Michelin mais ce n’est plus d’actualité. Vous souhaitez que ce simulateur soit de meilleure qualité ? Aidez-nous ! Contactez Maël Thomas, le développeur du simulateur.
Quels critères prendre en compte pour le vrai coût d’une voiture ?
Nous pouvons séparer le coût final en plusieurs étapes. D’abord, les coûts instantanés, comme le coût de l’énergie et les péages d’autoroute. Ensuite, le coût de possession de la voiture, comme l’amortissement du véhicule, l’assurance, etc. Enfin, vous pouvez ajouter quelques dépenses diverses, comme les frais de parking, les amendes etc.
Voici les critères pris en compte pour le vrai coût d’une voiture :
Coûts instantanés
- Coût de l’énergie : c’est le prix du carburant pour le quotidien. Rappelons que pour les véhicules au pétrole, c’est plus des trois quarts des émissions de gaz à effet de serre qui sont liés à l’usage des voitures, c’est-à-dire à la production et la combustion des carburants. Pour l’électrique, au contraire, c’est de l’ordre des trois quarts de l’impact climatique qui se concentrent sur la production du véhicule, tandis que l’usage émet peu de CO2. Lire cet article sur la voiture électrique.
- Péages d’autoroute : selon les routes que vous empruntez, le coût peut être conséquent, surtout sur la future autoroute la plus chère de France.
Coûts de possession
- Amortissement du véhicule : l’hypothèse de base est qu’une voiture a une durée de vie moyenne en France de 20 ans, et l’âge moyen du parc est plutôt de 9-10 ans. Donc le prix a été réparti selon cette hypothèse (voir les explications données dans la partie ‘limites’ ci-dessous). La durée de vie moyenne est bien sûr différente selon votre type de véhicule, les voitures électriques ayant une plus grande durée de vie.
- Assurance : le prix varie selon votre ancienneté, le type de véhicule etc., et est bien sûr bien au-delà de 100€ / an.
- Entretien : les frais d’entretien sont très variables selon les conducteurs ou conductrices, et il est par ailleurs difficile d’en faire une moyenne.
- Lavage : le lavage est également dépendant de votre amour du propre : entre 0 lavage annuel et un lavage hebdo, il y a un petit monde… et un budget à l’arrivée.
Coûts divers
- Parking : selon votre ville, les places de parking peuvent être de 2 à 10 fois plus chères. Que ce soit mensualisé, annualisé ou utilisé ponctuellement, et en fonction de la fréquence, un parking peut coûter plus cher à l’année que l’essence.
- Les amendes : à prendre si vous n’êtes pas irréprochable, stationnement, excès de vitesse, stage de récupération de points… Il y a tout de même eu 40 millions de contraventions en 2021 en France, un record.
Rejoignez les 40000 abonné(e)s à notre newsletter
Chaque semaine, nous filtrons le superflu pour vous offrir l’essentiel, fiable et sourcé
Quelles sont les limites du calculateur ?
Comme tout simulateur, ce simulateur a des limites et nous souhaitons les rappeler ici afin d’améliorer le simulateur autant que possible. Comme pour le simulateur ferry, piscine ou avion, l’important est d’avoir un ordre de grandeur en tête afin d’éclairer au mieux les décisions personnelles et publiques.
- D’après Maël Thomas, l’une des principales sensibilités de ce modèle concerne l’estimation du coût d’achat de la voiture ramené au km. Il n’est pas aisé d’obtenir des données sur les km parcourus par les voitures amenées à la casse, et en particulier concernant les voitures électriques, ni des informations statistiques fiables sur les frais d’entretien. Or, le coût d’achat est un des facteurs clef du coût final.
- Comment compter le prix d’achat : est-ce un amortissement comme considéré ici, donc un choix comptable où le prix de la voiture est à payer sur 20 ans ? Ou le coût d’achat n’est pas intégré dans le coût quotidien et où l’on considère l’achat de la voiture comme un investissement ? La première option est retenue ici, mais c’est un choix qui peut être questionné.
- Les coûts du prêt à la consommation : dans cette version, le coût du capital n’est pas pris en compte, ce qui peut sensiblement faire changer le résultat final.
- Pollution de l’air. De nombreuses externalités ne sont pas prises en compte. L’impact de la voiture individuelle a aussi un coût pour la société avec la pollution. Rappelons que la pollution de l’air c’est 48 000 décès prématurés en France chaque année.
- Pollution sonore : les nuisances sonores engendrées par le trafic routier ont longtemps été sous-estimées. Elles ont pourtant des conséquences sanitaires non négligeables. L’Ademe a même récemment estimé que les coûts sociaux attribuables aux nuisances sonores (dont 55 % provient du trafic routier) seraient supérieurs à ceux attribuables à la pollution atmosphérique.
- Les usagers de la route paient-ils le juste prix de leurs circulations ? C’est très loin d’être le cas, selon cette note de la Direction générale du Trésor.
L’usager de la route génère des coûts pour les autres usagers (usure de la route, congestion, accidents de la route) et pour la collectivité (pollution de l’air, émissions de gaz à effet de serre, bruit). Selon la théorie économique, il serait optimal que l’usager de la route paie les coûts engendrés pour la collectivité par sa décision de circuler, appelés externalités. Les prélèvements supportés par les usagers sont surtout la fiscalité sur les carburants et les péages. Lorsque ces prélèvements sont inférieurs aux externalités, il y a trop de déplacements routiers par rapport à ce qui est souhaitable.
L’objectif de ce calculateur est d’avoir un ordre de grandeur. Il est difficile d’avoir un résultat parfait à la virgule près, notamment à cause de ces limites. Comme pour tout calcul d’empreinte carbone, il faut faire des choix dans la méthodologie.
Que retenir de ce simulateur ?
La voiture coûte cher, et bien plus cher que ce qu’on a l’habitude de présenter. Elle coûte cher aux automobilistes, à la société via ses externalités négatives et enfin elle coûte et coûtera de plus en plus cher via les émissions de gaz à effet de serre. La voiture individuelle représente 15% des émissions en France et rien ou très peu n’est fait pour changer cela.
Trois solutions apparaissent. La première : développer le co-voiturage. Ensuite, emprunter les alternatives quand elles sont disponibles. La mobilité active, les transports en commun et/ou le train. Enfin, si jamais l’achat d’une voiture est indispensable et que vous n’avez pas le choix, optez pour une voiture électrique, sans aucune hésitation possible.
Réduire la place de la voiture individuelle en France est un enjeu de politique publique, une nécessité et une urgence absolue. Si ce simulateur doit aider à informer le citoyen sur le vrai coût de la voiture, se séparer de sa voiture est parfois impossible et il n’y aura aucun miracle sans que les pouvoirs publics engagent des changements structurels.
26 Responses
je suis depuis longtemps bien conscient du coût total d’un véhicule électrique et bien conscient qu’il y a des coûts non couvert (les externalités)
je découvre cependant via le lien “note de la Direction générale du Trésor.” l’ampleur de celle-ci, je cite “Pour les véhicules particuliers essence, les externalités sont
en moyenne de 16,5 c€/km et les prélèvements en moyenne de 7,0 c€/km” soit une externalité manquante de 10c€/km ou 10€/100km (et encore il ne se base que sur un prix carbone de 42€/t alors que les scénarios parlent d’un besoin de minimum 100€)
cela représente par ex un doublement du prix du carburant (ou un assise au km lors du contrôle technique pour les VE) ou une grosse taxe annuelle de circulation ou un mix des 2.
dans le détail pour ceux que cela intéresse, je résume les externalités et j’ai mis en () une possible solution
congestion 58% (qui nécessiterait une taxe variable selon l’heure)
accident 15% (gérable par une hausse de la taxe sur les assurances)
pollution atmosphérique (hors co2) 15% (nécessite une taxe au km)
co2 : 6% 0.87c€/km soit 7 c€/litre essence qui nécessiterait d’être + que doublé pour couvrir le coût de l’externalité à 100€/t
usure des routes 6% (taxe au km)
nuisance sonore 0.3% (d’autres études ont des valeurs nettement + élevées.. nécessiterait )
attention à l’effet rebond du covoiturage : si vous faite des trajets 4x moins cher, que faites-vous avec l’argent économisé ? si vous faite 4x plus de trajet, le covoiturage n’a pas réduit les émissions. si vous renouvelez prématurément vos équipement électrique avec l’argent économisé, les émissions augmentent
“Enfin, si jamais l’achat d’une voiture est indispensable et que vous n’avez pas le choix, optez pour une voiture électrique, sans aucune hésitation possible.”
Le coût d’une voiture électrique est peut-être trop cher encore pour certaines personnes par rapport à la voiture à essence. Et ce serait mieux une voiture électrique en occasion (moins d’impact sur la Terre) ou sinon, n’ayant pas un trop grand gabarit (est-ce toujours possible ?).
non le cout d’une VE n’est pas trop cher, c’est la vision limité aau prix d’achat qui est le problème, le VE sur sa durée de vie coute moins cher qu’un VT (dit autrement le leasing d’un VE+énergie est inférieur au leasing d’un VT+essence)
évidement l’occasion a un impact moindre que le neuf (sauf à se poser la question de que ferra le vendeur ? il s’en rachetera un, donc au final, cela revient +- au même que si c’est vous qui l’aveiz acheté neuf)
l’autre alternative trop souvent oublié est le véhicule partagé : en effet une part très importante du prix est fixe (amortissement du prix d’achat, assurance, …). si vous payé un cout à l’usage qui réparti les frais fixe sur l’ensemble de sa durée de vie, cela encourage une saine comparaison avec les autres alternatives pour chaque cas d’usage, au lieu de l’acheter puis l ‘utiliser pour tout vu qu’elle est là (et que le prix des transports publics hors abonement est supérieur au prix de l’énergie d’un VE hélas)
Vous avez certainement raison sur la durée de vie de la voiture électrique ; à voir dans le temps si ce sera toujours le cas comme le prix d’électricité semble plutôt aller dans le sens de l’augmentation (“Aurélien Bernier lève le voile sur tout le processus de « libéralisation » du marché de l’énergie, qui a conduit à une explosion des prix du gaz et de l’électricité, et un pillage inédit d’EDF, donc de l’État.” https://elucid.media/environnement/vos-factures-d-energie-vont-exploser-voila-pourquoi-aurelien-bernier).
C’est le prix de départ qui donne l’accès au véhicule électrique. Si c’est déjà trop cher, certaines personnes ne l’achèteront pas. L’occasion permet aussi d’y avoir accès plus facilement. C’est vrai que SI le vendeur achète une nouvelle voiture électrique identique à celui qu’il vend, cela ne change pas l’impact. Néanmoins, cette offre en plus permet de faire réfléchir l’acheteur entre une voiture thermique neuve et celle électrique d’occasion à cause du prix d’achat.
Je suis d’accord avec vous pour le co-voiturage. Pour autant, il y a un effet qui fait que des personnes qui utilisaient les transports en commun, peuvent maintenant utiliser ce mode. Il y a aussi un facteur important que nous semblons oublier : celui du temps (de trajet, que nous voulons y consacrer, que nous n’avons seulement) ; cela peut entrainer à choisir tel ou tel mode de transport. Tant que nous n’avons pas en majorité ralentie (et voulons ralentir sans revenir au rythme de trois siècles en arrière), certaines personnes ne prendront que le choix de la voiture pour pouvoir suivre la vitesse.
Ainsi, en premier lieu, peut-être essayer d’avoir le réflexe (par rapport au temps et la raison) de penser pour aller à un endroit : si c’est possible d’abord à pied ou en vélo, puis en transports en commun, ensuite en voiture (co-voiturage, sinon location ou voiture possédée).
les trajets sur autoroute avec un prix en borne de recharge entre 3 et 6x supérieur au prix à la maison, sont également moins cher que les trajets fossile (dont le prix a aussi fortement augmenté, c’est même la hausse du fossile qui provoque une hausse de l’électricité)
du coup, toute hausse élec+fossile renforce l’avantage financier du VE.
en chiffre arrondi cela donne
+10% sur le prix de l’essence = +0,20€/l *7l/100km = +1.4€/100km
+10% sur l’électricité = +0,02€/kWh *20kWh/100km = 0,40€/100km
et à mon avis, vu que le pic de production du pétrole est passé, je crains que le prix des carburants n’augmente voir ne flambe dans la décennie à venir et cela va faire mal, très mal
Vous semblez supposer que l’augmentation du prix de l’essence est proportionnelle au prix de l’électricité ; qu’elles augmenteraient de la même façon donc l’acheteur peut faire la comparaison à date d’aujourd’hui. Or, il n’y a pas de corrélation. Le prix de l’électricité est basé sur celle du gaz dans l’UE. Celle de l’essence, sur le pétrole.
De plus, avez-vous pensez que l’électricité peut aussi avoir une très forte augmentation surtout dû au marché de l’UE (n’aidant pas au final les consomateuros) ; au fait que tout remplacer par l’électricité (comme le personnel par la technologie, faire soi-même des démarches sur internet utilisant l’électricité etc) et la consommation des nouvelles technologies (portes électrique, digicodes, caméras, maisons “automatisées” etc) ou mode de locomotion (vélos électrique, trotinettes électrique etc) auront aussi des impacts ? Certaines villes en France éteignent la lumières de leurs rues la nuit, non pas d’abord pour les insectes et autres animaux (aussi les plantes) mais car cela coûte cher (et ne recoivent aussi moins de subventions de l’Etat français).
Je pense qu’il existe de meilleurs calculateurs. Celui-ci est peu précis et la méthodogie pas top. Je vous propose celui-ci qui est très pro.
https://www.toutcalculer.com/automobile/cout-kilometre-moto-voiture.php
Il manque un élément essentiel dans ce calcul, nul pour certains, très important pour d’autres : La Passion………….et cela ne se calcula pas !
j’ajouterai aussi le “marqueur externe de richesse” (ou supposé l’être)
il manque le revers de la pièce : le respect de la vie des autres. je renvois à l’excellente vidéo youtube de Philoxime “rouler en SUV, c’est mal ?” que je résume par “1 véhicule thermique = 1 mort climatique”
Parmi les solutions, je suis surpris de ne rien voir sur l’autopartage type citiz.
Outil bien conçu, merci.
Alors, oui, bonne idée, seulement il n’y a pas les hybrides, si je marque évite les péages, ils sont quand même comptés au final, il n’y a bien souvent pas de choix de juste milieu. Donc ça reste encore à améliorer.
même bug, j’ai ouvert un ticket d’anomalie sur github
C’est vraiment super cette idée de simulateur. Mais je suis perplexe devant le résultat de ma simulation…. ça me dit 15 € pour un trajet de 15 kilomètres… comme j’ai compris que le plus gros du cout doit provenir de l’amortissement de l’achat de la voiture, j’ai fait un rapide calcul : j’ai acheté ma voiture 7500 € il y a 15 ans et je fais 10000 km par an avec. Ca me donne un cout d’amortissement par kilomètre de 0.05 € (évidemment le calcul n’est pas tout à fait juste ! si je revendais ma voiture aujourd’hui, j’en tirerai probablement quelques centaines d’euros mais bon ça donne une idée). Bref, avec un cout de 5 centimes par kilomètre je ne comprends pas du tout comment un trajet de 15 km peut revenir à 15 € !
Vous avez litérallement omis tous les autres coûts : assurance, carburant, entretien, parking, péages, amandes, etc.
Cela dit, une vieille voiture, ou d’occas, coûte bcp moins cher sur le long terme qu’une neuve !
Il y a une petite vingtaine d’année j’ai réalisé un calcul assez proche de celui ci en y ajoutant le coût de l’immobilisation de la somme d’argent dans un produit qui ne rapporte rien versus des produits financiers “prudents”. Dans mon contexte urbain clermontois soit on habite à peu près en centre ville soit on s’expatrie à la périphérie de l’agglomération.
J’étais arrivé à la conclusion que le coût sur 25 ans de la possession d’une maison à la périphérie de Clermont revenait à 100000€ placé dans une automobile…
Très intéressé pour le mettre en place au boulot mais 36€ aller/retour pour faire 10-15kms il doit y avoir un problème quelque part. Je regarde le détail demain 🙂
Il y a un petit problème dans le calculateur : je signale que j’évite les autoroutes, il m’indique 23 € de péage (il n’y a pas de péage sur l’A75, sauf le viaduc de Millau, 10€). C’est vrai que la bagnole coûte un bras, surtout avec la multiplication des radars et des infractions à 95€ pour avoir dépassé de 4km/h la vitesse indiquée. Mais j’habite la campagne, mon père habite la campagne, entre les 2 c’est le massif central…
petit détail : vous ne recevez pas une amende si vous dépassez la vitesse indiqué de 4km/h, vous l’avez dépassé de + que cela mais pour éviter toute contestation, on laisse tomber un certain nombre de km/h avant de calculer l’amende
Egoïstement, je repondérai qu’en habitant à la campagne, le vrai coût d’une voiture est celui de la tranquillité .. 🙂
Je troll un peu mais peu importe tout les calculs du monde, le budget d’un ménage prend en compte ses dépenses, ne pas prendre son véhicule relève plus du plan personnel, quand j’habitait en ville je faisais tout à pied.
Bonjour Thomas,
Merci pour cet article.
Je suis conscient des approximations de l’étude.
Cependant, pour permettre à tout le monde de se comparer avec la simulation “visuelle” faite, est-ce possible de préciser les caractéristiques principales prises en compte pour la simulation (énergie, kilométrage annuel moyen, petite ou grosse cylindrée…) ?
Ce coût de 4500€/an est-il pour une Citroën AMI roulant 1000 km/an ou une Renault Trafic Diesel roulant 30 000 km/an ?
Bonne journée, bonne continuation
Autre piste d’amélioration :
Je n’ai plus de véhicule depuis janvier 2023, et me questionne pour passer avec citiz (je me débrouille autrement actuellement)
Est-ce possible/pertinent de rajouter les questions permettant de simuler les prix des locations de Cité ? Il suffit de rajouter la durée d’immobilisation du véhicule et si heure de jour ou de nuit (comme la distance (aller retour à faire donc) est déjà connue.
Si c’est pertinent…
L’amortissement de la voiture doit se faire sur la valeur résiduelle et non linéairement sur 20 ans.
La première année, l’amortissement doit être beaucoup plus élevé par exemple.
En effet, la valeur d’une voiture diminue de façon non linéaire avec l’âge, elle perd rapidement sa valeur de revente. Nous pourrions l’intégrer dans le simulateur : cela renchérirait les trajets faits avec des voitures récentes, et diminuerait le coût des trajets faits avec des voitures anciennes. Nous verrons selon les retours et ajusterons pour une V2 ! https://www.largus.fr/pros/actualite-automobile/occasion-la-cote-argus-r-evolue-pour-s-adapter-a-l-inflation-du-prix-des-voitures-30024370.html
Utilisez simplement récursivement un pourcentage (20%) sur la valeur résiduelle de l’année N-1. C’est comme ça que j’avais fait sur la feuille de calcul originale et ça fonctionne très bien pour prendre en compte la non-linéarité de l’amortissement.